AFE : Retour sur les travaux de la commission du développement durable et du commerce extérieur

Les travaux de la commission ont duré deux jours avec une restitution en séance plénière. Tout d’abord, nous avons entendu le secrétariat général de l’AFE pour comprendre le manque d’effet de nombreuses résolutions de notre assemblée.
La société EcoAct nous a présenté les différentes méthodes de compensation carbone depuis le protocole de Tokyo , sur le marché règlementé ou volontaire. Grâce à ces informations, notre commission a fait voter et budgéter la compensation carbone de tous les trajets des conseillers de l’AFE lors des sessions. 
Une fresque du climat, atelier ludique et collaboratif sur le climat a permis de démontrer l’intérêt de déployer cette méthode pédagogique au niveau de l’assemblée entière pour transformer chaque élu en ambassadeur de la fresque dans leur circonscription. La fresque est traduite en 45 langues.
Du coté du commerce extérieur, la boite à idée « La Fabrique de l’exportation » a présenté les différents freins à l’export qui affectent en priorité les PME et les TPE. Ces entreprises aurait souvent un faible savoir-faire dans l’export, qui est un métier à part entière. La faible maitrise des langues étrangères serait aussi un handicap, ce qui sera confirmé par « Export Business France », agence gouvernementale d’aide aux entreprises qui a présenté des moyens adaptés suivant les secteurs et les marchés.
Le développement durable et le commerce extérieur étant intimement intriqués, « l’ADEME -club international » est une division de l’agence pour l’environnement fédérant les entreprises dans l’innovation écologique aidant aussi à l’export, trouvant des synergies sur des gros projets avec le soutien de la France dans le plan France 2030.
Notre commission a aussi relancé le prix du développement durable de l’AFE qui aura lieu en octobre 2023.
En dehors de la commission, notre groupe a aussi entendu, grâce à Mme Conway-Mouret, l’association « première urgence internationale » et Human Right Watch sur la situation en Israël et en Palestine. Outre le témoignage d’une situation catastrophique qui n’engage pas à l’optimisme, les intervenants ont insisté sur la destruction d’infrastructures payées par les contribuables français, sans conséquences diplomatiques.

Lien pour lire lintégralité des travaux de la commission du Développement durable et du Commerce extérieur durant la 37e session plénière, qui s’est tenue du 3 au 7 octobre 2022,